La poésie =^)

vous avez raison Monsieur l'Admin, on se demande ce que ce que peut bien faire la mère de ce jeune homme fort talentueux par ailleurs !

vive la jeunesse

élite spartan a écrit:

salut à tous ce soir je suis inspiré alors je vais vous fair part d'un texte :

Esprit Fatal ;

Je suis ici au milieu de nulle part.
Là sur cette terre je suis tel un homar.
Dans un desert, puis en me retournant,
Je vis une silhouette tel un goéland,
Qui tournait au milieu de moi,
Je pensais qu'il voulut mon âme ha moi.
J'ai du sable sur le visage;
Du sable chaud, je crus voir un nuage;
Une oasis là sans concurence.
Je m'y approche et vis ma démence,
L'eau tant voulue devint du sable.
Cet oiseau se rapprocha peu à peu, je m'accable.
Je rend l'âme ici qui aurait cru;
Qu'un jour je faiblirais sans même avoir vu
La mort en face, c'est mon esprit fatal.
Me voici renaître, je crache ma bile.
Mes yeux se ferme je suis mort;
Tout le monde est mort, je m'en vais sans remords.
Là où mon cadavre jis, jadis,
Là où plus tard il y aura mes ossements,
Il y avais un océan.
Et c'est ainsi que je sombris dans les abysses.
La planette n'est qu'un rocher de cendre sans vie.
Et nous voici pris dans un tourment de folie,
Eruptions et seismes se suivirent.
Tornades et ouragans par la rage des vents.
Le courroux du cosmos se leva,
Cette planette est dévastée;
Plus aucunes vies ne peuvent s'assurer,
D'ici, la survie sur une terre enterrée.
Qui subit de jours en jours la facette
De la colère des dieux.
En se millénaire il vaut mieux;
Se terré dans un creux,
Ou mourrir dans le feu.
Ce paysage c'est l'enfer,
Jadis, ici, ou l'on battait le fer
Pour en faire des armes de guerre.
Après cela, voilà la dévastation,
La, il n'y a plus de nation.
Ici; jadis raignait la vie,
Maintenant il faut lutter pour sa survie.
La puenteur des cadavres s'envolent;
Les flammes consument leur bémole.
Les seismes les englouti.
Et les tornades les envole vers l'oublie....

Et voila =)

Bonjour Elite !

C'est une riche idée cette discution sur le thème de la poésie, et je trouve que tu as du talent !
Néamoins, les fautes sont tolérer ici, mais il faut essayer d'en faire le moins possible pour la bonne compréhension et le plaisir de tous.
Pour celà, je me suis permis d'éditer ton texte pour en corriger la majeure partie mais il y en a beaucoup que tu aurais pu rectifier toi même avec un peu d'efforts.Tu peux aussi demander de l'aide

En tout cas, bravo, continue de nous faire partager tes écrits si tu le souhaites.

Et joyeux noël

élite spartan a écrit:

Et voila =)
[/i]

euh ... je peux en avoir un peu ?

salut à tous ce soir je suis inspiré alors je vais vous fair part d'un texte :

Esprit Fatal ;

Je suis ici au milieu de nulle part.
Là sur cette terre je suis tel un homar.
Dans un desert, puis en me retournant,
Je vis une silhouette tel un goéland,
Qui tournait au milieu de moi,
Je pensais qu'il voulut mon âme ha moi.
J'ai du sable sur le visage;
Du sable chaud, je crus voir un nuage;
Une oasis là sans concurence.
Je m'y approche et vis ma démence,
L'eau tant voulue devint du sable.
Cet oiseau se rapprocha peu à peu, je m'accable.
Je rend l'âme ici qui aurait cru;
Qu'un jour je faiblirais sans même avoir vu
La mort en face, c'est mon esprit fatal.
Me voici renaître, je crache ma bile.
Mes yeux se ferme je suis mort;
Tout le monde est mort, je m'en vais sans remords.
Là où mon cadavre jis, jadis,
Là où plus tard il y aura mes ossements,
Il y avais un océan.
Et c'est ainsi que je sombris dans les abysses.
La planette n'est qu'un rocher de cendre sans vie.
Et nous voici pris dans un tourment de folie,
Eruptions et seismes se suivirent.
Tornades et ouragans par la rage des vents.
Le courroux du cosmos se leva,
Cette planette est dévastée;
Plus aucunes vies ne peuvent s'assurer,
D'ici, la survie sur une terre enterrée.
Qui subit de jours en jours la facette
De la colère des dieux.
En se millénaire il vaut mieux;
Se terré dans un creux,
Ou mourrir dans le feu.
Ce paysage c'est l'enfer,
Jadis, ici, ou l'on battait le fer
Pour en faire des armes de guerre.
Après cela, voilà la dévastation,
La, il n'y a plus de nation.
Ici; jadis raignait la vie,
Maintenant il faut lutter pour sa survie.
La puenteur des cadavres s'envolent;
Les flammes consument leur bémole.
Les seismes les englouti.
Et les tornades les envole vers l'oublie....

Et voila =)